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Latin IND

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24 février 2014

Zigzag

Zigzag

De Cassandra L.

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24 février 2014

S'enlivrer

s_enlivrer_parie_1

s_enlivrer_partie_2

Charlotte G. & Fanny B.

24 février 2014

Charivari

 

Mythe_Charivari

Mythe_Charivari_Partie_2

 

Fanny B. et Charlotte G.

3 février 2014

A tire-larigot

Larigot, personnage insignifiant habitant une contrée d’Hillyrie, avait pour habitude de consommer du vin à l’excès. N’ayant jamais travaillé, il se promenait souvent dans les bois, une fiole pleine, à la main. Mais un jour, alors qu’il chantonnait et marchait bruyamment  dans la forêt, Apollon intervint, alerté par le bruit. Larigot, l’air de rien, continua son grabuge, à tel point que Dionysos apparut, ne sachant point qu’Apollon était déjà présent. Larigot s’arrêta alors, tenant à peine sur ses jambes, il pencha la tête pour observer les dieux. Il avait probablement perdu l’esprit et défia Apollon à la flûte. Les dieux approuvèrent tacitement, autant donner à cette situation un côté divertissant. Apollon fit donc apparaître sa flûte, elle était d'une beauté sans égale, fabriqué avec les meilleurs matériaux qui soient.

De toute évidence, Larigot fut battu. Mais au lieu de choisir de se retirer dignement, il fit le choix de contester sa défaite et s’avança en direction des dieux. Dionysos, prenant cet affront comme une faute grave, décida de punir l’inconscient. Depuis ce jour, le pire défaut de Larigot fut aggravé. A la moindre pensée, envie, à la vue ou au toucher d’un alcool ou d’un quelconque liquide, Larigot devenait saoul à n’en plus pouvoir marcher. Ivre, il se retrouva dans l’incapacité de rentrer chez lui. Les habitant de la contrée furent alors obligés de tirer Larigot, et ce, tous les soirs. En effet, cela devint une habitude pour le voisinage, et à chaque dionysiaque, il s’attendait à passer leurs soirées à tirer Larigot. 

 Fanny W.  &  Antoine C.

 

20 janvier 2014

Power Point sur les origines d'Ambiancer !!!

LES_SECRET_DES_ORIGINE_DU_MOT_AMBIANCES

 

Réalisateur :

Thomas B. & Elie V.

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20 janvier 2014

Pharibos ou le fou bienheureux

 

Cette histoire se passe en l’an -354

Thréfeuse était une ville de l’Attique situé près des contreforts rocheux de Schpourtf. La rivière Glandebruine passait au travers de cette bourgade pour rejoindre le fleuve Chipouli. Pharibos était un habitant grec de ce charmant village. On le disait fou. Il tenait une échoppe de tailleur où il vendait des tissus chamarrés à  tire-larigot aux couleurs flamboyantes mais que peu de personnes lui achetait car les temps étaient sombres et à Thréfeuse les gens étaient plutôt mornes. Chaque fois que son moral baissait, il partait en forêt et revenait le sourire aux lèvres. Il prétendait qu’une source d’eau magique avait le pouvoir de rendre la gaieté mais personne n’y croyait et on le prenait pour un ouf tant l’histoire semblait extravagante.

Si les habitants étaient si mornes c’est en raison des impôts difficiles à payer. En effet, la ville ne possédait de ressources en ces temps où toute la Grèce était en guerre. Pharibos, lui, vivait de la joie du bienheureux malgré son manque d’argent. Lorsque le percepteur revenait, des bruits courraient qu’il le fouettait dans un effroyable tohu-bohu pour le punir et Pharibos ressortait de sa maison pour partir se réconforter dans la forêt.

Un jour cependant, (après une nouvelle quête d’impôts) les habitants plus désespérés que jamais consentirent, après l’insistance de Pharibos, à le suivre pour aller à la soi-disant source de la soi-disant gaieté. Ils arrivèrent devant une source limpide et éclairée par les rayons du soleil.

L’endroit charma les esprits tourmentés qui oublièrent un moment les problèmes futiles de leur existence. Le boucher du village, s’approcha de la source et en but quelques gorgées. On vous a peut-être déjà dit que le bon vin contenu dans les vielles amphores perd de sa saveur, que la beauté est relative, et que les mets les plus chers ne sont pas forcément les meilleurs, mais jamais ces proverbes ne trouvèrent de meilleure illustration et aucun mot ne put décrire le dégoût du pauvre boucher buvant de l’eau au goût d’huile de ricin…

Il parut donc évident à tous que seul que leur fou du village pouvait trouver cette eau magique et que Pharibos  méritait amplement ce titre. Les habitants rentrèrent chez eux jurant d’avoir gâché une journée pour des Pharibos (nom désormais donné aux histoires de Pharibos).

Quand au timbré, il resta seul dans la clairière et se posa derrière un buisson caché pour faire la sieste. Quand le percepteur arriva, il procéda comme à son habitude jetant dans la source les pièces d’or qu’il avait extorquées en plus de l’impôt aux habitants de Thréfeuse. Grâce à ces petites magouilles il pourrait bientôt jouir d’une retraite anticipée. Une fois toutes les pièces jetées, il rajouta de la terre par-dessus pour les cacher aux yeux de potentiels voleurs. Une fois le son méfait accompli, Pharibos se réveilla et creusa dans la source pour y dénicher une poignée de pièces d’or comme à son habitude. Il bénit les dieux de lui avoir offert cette source magique qui faisait apparaître de l’or puis reparti vers le village annonçant qu’il était devenu riche ; Les habitants n’écoutèrent pas cette nouvelle faribos et continuèrent à travailler maudissant leur existence.

Au loin un jeune homme avec un tohu sur l’épaule riait doucement.

 

Auteur de cette histoire :

Thomas B.

20 janvier 2014

Pour le concours... voila notre Histoire :D

Il était une fois lors de grandes fêtes panhelléniques, à Spartes, un valeureux guerrier qui après de multiples combats avait pris sa retraite  en temps que maître timbre et qui après chaque bataille rejoignait la parade! Il avait pour instruments un tambour et aussi quelques  cloches  qu’il fallait frapper avec un marteau pour qu’elles produisent un son guerrier ce qui avant chaque bataille remonter le moral des troupes. Ce vétéran  nommé Brémitas  avait une arrogance sans égale. Lors de la fête, il osa prétendre être meilleur dans l’art de la guerre qu’Ares. Ares ayant étendu ces propos provenant du monde des mortels, se métamorphosa en général en chef des armées spartiates ! Il s’approcha de Brémitas car il prétendait être ému par le son émis par les cloches. Brémitas  prit cet homme pour un faible. Dans l’armée spartiate il y avait seulement des hommes forts, courageux, avides de sang et voici que le nouveau chef des armées était frêle et sans carrure. Brémitas  lui proposa son lourd marteau pour qu’il essai l’instrument. Celui-ci pensait que son général ne pourrait porter le marteau mais des que le général pris le manche entre ses mains son visage se transforma aussitôt en celui d’Ares ! Ares leva le marteau d’une facilitée inouïe et lui assenât un coup ! Brémitas  ne pus esquiver et comprit alors en voyant dans les yeux de son général le visage du dieu de la guerre ! Il était trop tard il avait commis un crime en osant être arrogant envers les dieux  et depuis se jour la folie l’habitée et les habitants de Spartes l’appelèrent le « timbré » en référence a son instrument favoris le timbre.

 

Auteur de cette histoire hors du commun :

--> Mathis & Tanguy & Yannis

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